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Oui aux centrales à charbon et sous-évaluation ; une expérience hydroélectrique helvétique

08-04-2022 19:09

Olivier Forney

Cap Kayak,

Oui aux centrales à charbon et sous-évaluation ; une expérience hydroélectrique helvétique

Quand le stylo me gratte, et que le dos se fait sentir, c'est d'une humeur maligne que j'attaque la page blanche.

Quand le stylo me gratte, et que le dos se fait sentir, c'est d'une humeur maligne que j'attaque la page blanche. Peut-être pour trancher avec une certaine morosité engendrée par cette action éreintante qu'est le portage ? Comment vous faire vivre ne serait-ce que l'un d'entre eux, si ce n'est en osant un titre à l'échelle de ce labeur : long et aux limites de l'absurde. Ici, le portage prend un « s ». Sortir les kayaks et le matériel de l'eau, parfois tourner autour d'un bâtiment, puis d'un deuxième, et tout remettre à l'eau. Le procédé est simple.

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Sauf que... nous avons pas loin de 140kg de matériel et que la sortie est bien souvent éloignée de plusieurs centaines de mètres du retour à l'eau. Il y a naturellement, parfois et quand cela veut bien fonctionner, des chariots électriques pour soulager nos efforts. Ici c'est un homme qui s'emploie à tracter nos kayaks, là trois, et là... zéro. C'est le weekend et l'employé chargé de cette tâche est sûrement parti à l'apéro pensant que la saison de navigation n'est pas encore ouverte. A chaque barrage, notre demande se fait via un interphone. Une voix germanique qui jamais ne s'autorisera un peu d'anglais ou de français nous répond ; le ton oscillant entre incompréhension et bienveillance. Et si nous accusons quelques refus, c'est uniquement pour l'utilisation des écluses qui sont réservées aux bateaux à moteur. Trop dangereux selon certains, qui nous envoient à des alternatives où nous nous esquintons le dos sur des structures mal pensées et où l'on doit parfois s'inventer pilote de grue à bateaux en autodidacte.

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Enfin, sous un soleil bien chaud pour la saison, nous passons d'une aventure hydroélectrique à une autre, sans heureusement tomber dans la mésaventure. L'énergie se perd donc, là où elle se crée. Et ce sont les heures qui s'accumulent dans le grand réservoir des heures perdues. Voleuses d'un temps précieux, ces structures de fer et de béton nous privent d'un courant naturel pour en produire un artificiel, qui finira peut-être dans un rameur de salle de fitness !?!

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